Notre histoire

Déjà en 2000, l’asbl Rent-a-Priest a été fondée à Halle par Rudi Borremans, André Brems et Norbert Bethune par analogie avec des exemples étrangers. Finalement, il ne restait plus que Norbert. Sous son impulsion, le mouvement s’est développé pour devenir ce qu’il est aujourd’hui.

Ils n’ont jamais eu l’intention de fonder une nouvelle église et ne l’ont jamais fait. L’organisation est ancrée dans la tradition catholique romaine et veut y rester fidèle. De l’Ancien et du Nouveau Testament, ainsi que de la culture chrétienne et d’autres cultures vieilles de vingt siècles, nous tirons des valeurs telles que : l’amour inconditionnel, la responsabilité, la justice, l’honnêteté, l’attention et une profonde solidarité avec les pauvres, les petits, les opprimés, les sans défense et les sans-voix de la société.

Emmaüs Flandre, Rent a Priest essaie de faire ressortir le meilleur des gens. En apportant la beauté, la bonté, la connectivité, la gratitude, la réconciliation, la paix et le bonheur, nous espérons nourrir la graine à partir de laquelle un monde meilleur peut pousser.

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Nous sommes dans la tradition de l'Église catholique et nous essayons de comprendre les signes de notre temps.

En entendant l’appel au renouveau, l'”Aggiornamento” de Vatican II, elle ne veut pas être aveugle aux “signes des temps” et s’affirme avec les principes d’une société démocratique où tous sont égaux. Nous voulons rompre avec les institutions catholiques qui ont des préjugés et des dogmes. Chez nous, l'”exclusion” est hors de question et tout le monde est le bienvenu. Notre équipe compte des prédécesseurs ordonnés et ordonnés, des femmes et des hommes mariés et célibataires. Ils sont dévoués à tout.

A partir de 2013, le nom de la communauté Emmaüs sera également utilisé : nos pasteurs sont engagés auprès des personnes qui font appel à eux et cela va bien au-delà de l’engagement d’un prêtre. Ce nom fait bien sûr référence à la célèbre histoire d’Emmaüs tirée de l’évangile, dans laquelle deux disciples retournent dans leur village après la mort de Jésus, découragés. Un troisième les accompagne et écoute leurs expériences, mais essaie aussi de clarifier les choses. C’est par un simple signe, la fraction du pain, qu’ils reconnaissent enfin Jésus. Ils apprennent qu’ils n’ont pas le droit d’enfermer leurs espoirs pour l’avenir comme des fouines effrayées : Jésus et ses idéaux ne sont pas morts tant que nous continuons à aller de l’avant ; un monde juste où le pain et l’eau suffisent à tous. C’est ce que nous défendons en tant qu’organisation.